L’article présente d’abord la variété des dispositifs de bilans de compétences, et pose la question des critères de qualité qui sont passés en revue, et qui permettent d’obtenir non une orientation scientifique imposée mais une orientation prise par l’intéressé même. Puis il vérifie le niveau de qualité à partir des effets observés en comparant plusieurs recherches à la fois sur les effets globaux, psychologiques et sociaux, et sur les variables différentielles comme la situation de départ ou les dimensions personnelles. Il permet de conclure sur les apports du bilan dans le domaine qui est le sien: le repérage des compétences par le sujet lui-même et l’élaboration d’un projet.